Succession
La riche et puissante famille Roy, composée du patriarche Logan et de ses quatres enfants, contrôle l'un des plus gros conglomérats de médias du monde. Alors que leur père vieillissant se retire peu à peu de la compagnie, Connor, Kendall, Roman et Siobhan contemplent le futur de l'entreprise sans lui...
Terminée | Américaine, US | 65 minutes |
Drama, Drame | HBO | 2018 |
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2.02 - Vaulter
Vaulter
Roman et Kendall font un bilan de santé économique d'une marque de nouveaux médias pour aider le site Vaulter à déterminer l'avenir de l'entreprise. Connor et Willa organisent une soirée pour signifier leur retour à New York...
Diffusion originale : 18 août 2019
Diffusion française :
18 août 2019
Réalisat.eur.rice.s :
Andrij Parekh
Scénariste.s :
Jon Brown
Guest.s :
Justine Lupe
,
Becky Baumwoll
,
James Beaman
,
Madeline Grey DeFreece
,
Caitlin FitzGerald
,
Eric Bogosian
,
Ashley Zukerman
,
Quentin Morales
,
Juliana Canfield
,
Jeannie Berlin
,
Swayam Bhatia
Maintenant que j’ai capté la vulgarité des dialogues, j’ai un peu de mal à passer outre. Pas que je sois offensé, mais je sens trop le concours des scénaristes pour sortir la punchline outrancière définitive, ce qui a pour résultat que tous les personnages sortent une grossièreté portée sur le sexe toutes les 5 minutes. On frôle l’overdose.
A part ça, ça reste bon, notamment via Tom qui ne se sent plus pisser depuis qu’il a son promotion (le personnage me fait bien rire), tandis que Siobhan s’apprête à se faire « poignarder » par son père prochainement, trop naïve de croire en ses promesses de succession, selon moi.
Mais le plus glaçant reste Kendall qui vire environ 500 salariés en une annonce publique, licenciement brutal et inhumain (tous leurs privilèges leurs sont ôtés sans aucun scrupule du fils à papa multimilliardaire), moins d’une journée avant de leur avoir fait de fausses promesses sur leur avenir, scènes qui illustrent bien la cruauté de l’ultra-libéralisme de l’économie américaine, tout comme les conséquence d’absence totale de code du travail offrant les pleins pouvoirs aux dirigeants face aux salariés.